Alors qu’ils et elles sont plus de 130 000 à travers tout le pays, les AESH continuent de subir régulièrement le mépris du gouvernement qui n’envisage toujours pas de mettre en place les mesures nécessaires pour faire du métier d’accompagnant·e un véritable métier, à temps plein, comportant de la formation régulière et une évolution des rémunérations tout au long de la carrière.

Au contraire, lors d’une récente intervention à l’Assemblée Nationale, le Ministre N’Diaye a démontré sa totale méconnaissance de la situation des AESH, alors qu’ils et elles sont désormais, rappelons-le, le deuxième corps de l’Education Nationale.

 

Les propositions de la FSU 64 pour les AESH: